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Le oukeskecé 166 - voie de l'aérotrain au nord d'Orléans
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- Caravanier aguerri
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Le oukeskecé 166 - voie de l'aérotrain au nord d'Orléans
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Re: Le oukeskecé 166 -
Est ce en Europe?
Au milieu on pourrait déduire que la route est en fait un pont grâce à l'ombre du soleil
Au milieu on pourrait déduire que la route est en fait un pont grâce à l'ombre du soleil
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- Atteint de caravanïte aïgue
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Re: Le oukeskecé 166 -
Je pencherais pour un monorail comme celui qui longeait la N20 vers Orléans et qui servit pour les essais de l'aérotrain.
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Re: Le oukeskecé 166 -
Bravo Frandel !
c'est bien la voie de l'aérotrain au nord d'Orléans
c'est bien la voie de l'aérotrain au nord d'Orléans
wikipédia a écrit :1969, construction d’une voie expérimentale de 18 km entre Ruan, au nord d’Artenay et Saran dans le Loiret. Cette voie en viaduc à 5 m au-dessus du sol est soutenue par des piliers qui limitent l’emprise au sol. Elle est censée s’inscrire dans une future ligne Paris-Orléans. Le tracé rectiligne autorise des vitesses de 400 km/h. Elle est équipée de deux plates-formes aux extrémités permettant le retournement de l’aérotrain, et d’une plate-forme centrale, à Chevilly, permettant de le garer dans un hangar. Cette ligne, à l’abandon, existe toujours. Elle est clairement visible à l'est de la voie ferrée Paris-Orléans (en voiture : depuis la RN20).
L’aérotrain est un véhicule glissant sur un coussin d'air au-dessus d’une voie spéciale en forme de T inversé. Il est propulsé par une turbine, un turboréacteur ou un moteur électrique linéaire, sans contact avec la voie. Son principe de fonctionnement emprunte aussi à la technique du monorail. C’est une invention française, due à Jean Bertin, qui n’a jamais connu d’exploitation commerciale.
En France, ce projet a néanmoins bénéficié, pendant un temps, de l’appui des pouvoirs publics, notamment du Comité interministériel à l'aménagement du territoire (CIAT) qui l’avait retenu en 1967 dans la perspective d’assurer des dessertes de voyageurs sur des distances allant de 100 à 500 km à des vitesses de 250 à 300 km/h (caractéristiques qui en font le précurseur du TGV). Cependant, le projet fut finalement abandonné en faveur du TGV.